Vous trouverez ci-dessous une liste non -exhaustive des événements passés offerts par LJ.
Mercredi 10 avril 2024, Roger Arditi nous a parlé de :
« Vichy au ministère de l’Agriculture », l’antisémitisme administratif dans un ministère ordinaire (1940-1944).
Dans quelle mesure un ministère technique tel que l’Agriculture a-t-il adhéré à la politique antisémite de Vichy ? Comment l’Institut national agronomique s’y prit-il pour mettre en oeuvre le numerus clausus des étudiants juifs ? Docilement, ce ministère appliqua la législation antijuive mais son manque d’enthousiasme lui valut également d’être critiqué par les collabos…
Mercredi 6 mars 2020, José Costa, professeur à la Sorbonne Nouvelle, spécialiste de la littérature rabbinique ancienne nous a parlé sur le thème « La loi juive entre singularité et universel ».
Bon connaisseur de la tradition rabbinique auquel il a consacré de nombreux travaux de recherche, José Costa a un talent très apprécié pour nous introduire avec humour et clarté dans la pensée juive.
Il a récemment publié deux ouvrages aux Presses Universitaires de France : « Les 100 mots du judaïsme
» (avec Simon Mimouni) et l’ouvrage collectif « Imaginaire et espace dans les mondes arabe et hébraïque » (avec Zaïneb Ben Lagha, Bernard Rougier et Michèle Tauber).
Dans cette conférence, il a abordé le thème de la loi, qui est central dans la culture rabbinique et qui permet aussi de réfléchir à l’identité juive dans ses aspects à la fois particuliers et universels.
Mercredi 14 février 2024, Charles Baccouche, Docteur d’État en droit et avocat, nous a entretenu d'un vaste sujet :
« Les défis intérieurs et extérieurs de l'État d'Israël ».
L’éternel nous a fait sortir d’Égypte pour nous rendre libres et pourtant les lois transmises par Moïse semblent bien contraignantes car être vraiment libre induit la responsabilité. Le judaïsme sait que la liberté de l’un est garant de la liberté d’autrui…
Mercredi 10 janvier 2024 Gilles Hanus nous a présenté « Éloge du tact », son tout dernier ouvrage, paru chez Liber.
Docteur d’histoire et sémiologie du texte et de l’image, Gilles Hanus est l’auteur de nombreux articles et de livres de philosophie. Parmi les très nombreux ouvrages qu’il a publiés : « Échapper à la philosophie ? Lecture de Lévinas » (2012), « Benny Lévy, l’éclat de la pensée » ( 2013), « Sans images ni paroles : Spinoza face à la révélation » (2018).
Le tact, qui désigne d’abord le sens du toucher, est une forme de délicatesse qui cherche à fluidifier les relations entre les hommes. Dans les temps crispés que nous vivons, temps d’une grande nervosité, épuisante pour beaucoup d’entre nous, notre socialité revêt fréquemment un tour qu’on pourrait dire névrotique. Le tact, mettant en œuvre une force discrète qu’il importe de revaloriser dans un monde où la force, d’où qu’elle vienne, ne cesse de s’affirmer de façon brutale, lui semble alors du plus grand intérêt.
Il a tâché dans cette conférence d’en donner une définition et d’en décrire les effets dans différents domaines.
Germaniste et historien français, spécialiste de l’Autriche et de la Mitteleuropa, Jacques le Rider fut, jusqu’à très récemment, Directeur d’Études à l’École Pratique des Hautes Études, Section des Sciences historiques et philologiques.
Parmi les très nombreux ouvrages qu’il a publiés, on retiendra son essai qui a fait date : « Modernité viennoise et crises de l’identité » (PUF, 1990), et en 2013 chez Albin-Michel « Les Juifs viennois à la belle Époque » ainsi que ses études consacrées à des figures de la modernité viennoise (Otto Weininger, Freud, Arthur Schnitzler, Karl Kraus).
Son intervention (mercredi 6 décembre 2023) a porté sur :
« Les juifs autrichiens face a la montée de l'antisémitisme 1918-1938 »
Madame Martine Bouquin, auteure et réalisatrice, a présenté son film « Se nommer Juif aujourd’hui encore », dimanche 3 décembre 2023.
Empruntant pour titre de son film la citation de Sigmund Freud qui, dans «L’homme Moïse et le monothéisme», revendiquait en 1939 de « se nommer Juif aujourd’hui encore », Martine Bouquin, animée par cette « secrète inquiétude » questionne - sur leur judéité - sept membres de sa famille. Le fiml fut suivi d’un débat qui fut passionnant.
Agrégée d’histoire-géographie, Laurence Jost-Lienhard enseigne au Lycée Adrien-Zeller à Bouxwiller (Bas-Rhin).
Elle a entrepris un travail de mémoire avec plusieurs classes d’élèves de son lycée... Les persécutions dont a été victime la communauté juive rurale du Pays du Hanau attestent de la nécessité d’en préserver le souvenir et elles s’inscrivent dans une mémoire collective confrontée au Judenrein alsacien et la Shoah.
Ce travail a conduit à la réalisation d’un film documentaire « Kaddish pour un prof » qui a été projeté avant son intervention du mercredi 8 novembre 2023.
Animée par cette impérieuse nécessité de transmettre la mémoire et d’impliquer les plus jeunes dans cette transmission, l’auteur redonne vie à des êtres dont on ne savait ce qu’ils étaient devenus.
Mercredi 11 octobre 2023, Simon Perego, Maître de conférences en histoire contemporaine à l’INALCO, Co-directeur du départment d’études hébraïques et juives, Chercheur associé au Centre d’histoire de Sciences Po, nous a présenté « Les Juifs de Paris et la commémoration de la Shoah 1944-1967 ».
Les recherches de Simon Perego portent sur les mémoires de la Shoah, des Juifs de France et de la culture Yiddish.
Le 11 octobre 2023, il est intervienu sur la difficile transmission intra-familiale des épreuves endurées sous l’Occupation car “on n’en parlait pas” dans les familles intimement marquées par les persecutions antisémites et la destruction des Juifs d’Europe. Mais cette transmission a cohabité – après la guerre – avec un large éventail d’initiatives prises dans le monde juif pour commémorer ce que l’on n’appelait pas encore la “Shoah”, ce dont il a traité aussi abondamment.
Dimanche 10 septembre 2023, Michèle Tauber et Hanna Rosenblum ont rendu hommage à Batia Baum - qui nous a quittés au mois de juin - l’une des plus grandes traductrices de la littérature yiddish en langue française.
L’écrivain, dramaturge, essayiste, journaliste Yitskhok Leybush Peretz fut l’un de ses auteurs de prédilection. Batia a traduit La nuit sur le vieux marché/Bay nakht oyfn altn mark, pièce éditée en bilingue par la Bibliothèque Medem. Un recueil de poésies de Dvoyre Foyal, Figures du jour et Mannequins, a paru, début Juillet aux Editions de la Barque, également en bilingue.
Hanna lut des extraits de La nuit sur le vieux marché. Puis, Michèle et Hanna lirent à deux voix des poèmes de Dvoyre Foygl, en yiddish et en français.
L’après midi s'est terminée en chansons... Tous ensemble, nousavons repris les refrains yiddish qui nous sont chers (un livret de paroles a été distribué) et nous avons dégusté quelques douceurs.
Mercredi 7 Juin 2023, Georges Bensoussan, historien, nous a présenté « Les origines du conflit israélo-arabe » 1870-1950.
Spécialiste de l’histoire culturelle de l’Europe des XIXème et XXème siècles (en particulier des mondes juifs), les travaux de Georges Bensoussan sont notamment consacrés à la Shoah, à l’histoire intellectuelle et politique du sionisme comme à la fin de la présence juive en terre arabe. Ce 7 Juin, il est intervenu sur la genèse du conflit israélo-arabe qui est le sujet de son dernier livre.
En dépit d’une couverture médiatique surabondante, les origines de ce conflit, en effet, demeurent paradoxalement mal connues.
Georges Bensoussan a mis en lumière, entre autres, l’importance de la dimension culturelle et anthropologique dans la connaissance d’un affrontement dont aucun des schémas explicatifs classiques – du nationalisme au colonialisme en passsant par l’impérialisme – ne parvient véritablement à rendre compte.
Mercredi 10 Mai 2023, Simon Wuhl, sociologue et chercheur associé à l’Université de Marne-la-Vallée et au Conservatoire national des Arts et Métiers a présenté « Les penseurs juifs et la laïcité à la Française »
Dans le cadre de son activité de recherche, Simon Wuhl a travaillé sur les thèmes du chômage, de l’exclusion, de l’analyse des politiques de l’emploi et de l’insertion ainsi que sur la justice sociale. Il a publié de nombreux articles ainsi que des ouvrages de référence sur ces différent sujets.
Dimanche 16 avril 2023
Michèle Tauber, Professeur en littérature hébraïque moderne et contemporaine à l’Université de Strasbourg, Maître de Conférences, Chanteuse, nous a fait l’amitié de présenter « Les gens de Godelbojits » de Leyb Rashkin, traduit du yiddish par Jean Spector (Le Tripode, édit.).
Au sortir de la Première Guerre mondiale, une petite ville polonaise se reconstruit. Les équilibres sont bouleversés : patron usurier, comptable en peine de coeur, rabbin malhonnête, jeune fille volage, pharmacien opportuniste, médecin coureur de jupons, bambin révolutionnaire... C’est toute une ville qui s’anime, une communauté qui reprend vie. L’auteur dessine avec un sarcasme réjouissant l’anatomie d’une bourgade juive de l’entre-deux-guerres... Ce roman social et satirique est témoin de la dégénérescence du shtetl. Publié originellement en 1936 à Varsovie et paru en 2017 aux Etats-Unis, l’oeuvre paraît pour la première fois en France.
Mercredi 22 mars 2023
Michel Granek, psychiatre, psychanalyste & formateur à la Société de Psychanalyse en Israël a découvert une carte postale envoyée de Drancy par son grand-père la veille de sa déportation fatidique.
Michel Granek decide d’enquêter sur l’itinéraire tragique de son aieul... Il reconstitue ce parcours au fil de recherches, de témoignages recueillis, et laisse son imagination combler les blancs restés sans réponse.
Son livre (paru aux Editions David Reinharc) rend aussi compte d’un pan moins connu de l’histoire: celle de la résistance juive en France, à Lyon, pendant la guerre – résistance incarnée par ses parents – desquels il restitue le récit.
Mercredi 8 février 2023, Isabelle Nemirovski nous a parlé de « Odessa la juive, un îlot de liberté ».
Docteur de l’Inalco (études juives et hébraïques), Isabelle Némirovski a fondé en 2017 l’association “Les Amis d’Odessa” qui oeuvre à reconstruire la parole mémorielle de la communauté juive odessite aux expressions plurielles et au rayonnement international. Auteur de “Histoire, mémoires et representations des Juifs d’Odessa. Un vieux rêve intime” (Honoré Champion 2022), elle a plus que jamais à coeur, en ces temps de guerre, de raconter au plus grand nombre l’histoire exceptionnelle et fantastique de la ville mythique des bords de la Mer Noire d’antan et d’aujourd’hui.
Mercredi 11 janvier 2023, Gabriel Goldstein, diplômé universitaire d'études juives, nous a parlé de Simon Doubnov.
Simon Doubnov (1860-1941) peut être considéré comme le plus important historien juif. Il a, entre autres, écrit une "Histoire mondiale du peuple juif" en 10 volumes. Alors que ses prédécesseurs, entre Flavius Josèphe et Graetz avaient toujours inscrit l'histoire juive dans un contexte religieux Doubnov s'est résolument tourné vers une interprétation moderne de l'histoire.
Gabriel Goldstein nous a parlé de l'enfance et de l'adolescence de Doubnov marquées par la pauvreté et une éducation juive orthodoxe, de son immense œuvre d'historien et de son implication dans la complexité politique des mouvements juifs de son époque. Proche de Ahad Ha'am, tenant d'un nationalisme culturel juif, il se montrera réticent aussi bien vis-à-vis du bundisme que du sionisme.
Le 9 novembre 2022, Sylvie Lidgi, auteur de « Tribulations d’un jeune Juif polonais en URSSS 1939-1946 », a évoqué « Les réfugiés-déportés en URSS durant la deuxième guerre mondiale ».
L’expérience des Juifs polonais qui ont passé les années de guerre en URSS est peu connue des institutions et du grand public. Elle n’a pas été considérée comme directement liée à la Shoah perpétrée dans leur région d’origine. Pourtant, bien que plusieurs dizaines de milliers d’entre eux soient morts en URSS de maladie, de malnutrition ou d’accidents du travail, une grande partie de ces Juifs polonais réfugiés-déportés a survécu. Sylvie LIDGI, la fille de l’un d’entre eux, nous parlera de leurs trajectoires de vie et de leur pratique de « l’art de survivre ».
Mercredi 12 Octobre, Vincent DUCLERT Historien, Chercheur titulaire et ancien Directeur du Centre Raymond Aron (CNRS – EHESS), Professeur à Sciences-Po, nous a parlé de « La démocratie républicaine et la haine des Juifs ».
A l’heure où une génération s’en va, celle qui a connu l’occupation nazie et, pour une part, subi « la solution finale de la question juive » par l’Allemagne hitlérienne, Vincent Duclert nous a rappellé que les victoires démocratiques restent toujours imparfaites et provisoires. C’est leur force que de rappeler combien l’histoire est incertaine, l’humanité fragile.
Mercredi 8 Juin 2022, Janine Gerson-Père, écrivaine et ex-correspondante de presse, nous a parlé de « Albert Kahn et la recherche d'un monde de paix ».
Albert Kahn est un Juif alsacien, fils d’un marchand de bestiaux.
À 38 ans il devient propriétaire de la banque dans laquelle il était entré comme simple coursier. Alors qu’il est à la tête d’une des plus grosses fortunes de France, il décide de consacrer son argent, sa vie, son énergie, à des projets philanthropiques. Il crée et finance les Bourses autour du Monde, les Archives de la Planète ainsi que de nombreuses Fondations.
Traumatisé par deux guerres (1870 et 1914), il rêve d’un monde de paix basé sur la culture et la compréhension entre les peuples. En octobre 1940, lorsque le Statut des Juifs est promulgué, il est rattrapé par sa judéité.
Il meurt seul, malade, ruiné, dans son hôtel particulier de Boulogne, au milieu de ses jardins qu'il avait conçus comme un monde réconcilié.
Mercredi 11 Mai à 19 h, par Zoom et en présentiel, Javier Leibiusky, écrivain, chercheur et enseignant d’hébreu nous a parlé de « L’émigration Judéo-espagnole en Argentine ».
Quand on parle des Juifs argentins, nous pensons souvent aux colonies agricoles installées et maintenues par le Baron Maurice de Hirsch vers la fin du XIXe siècle. Dans cette conférence, l’attention sera mise sur les Judéo-espagnols d’Orient, groupe minoritaire et peu connu, pourtant très important dans le paysage culturel et historique de Buenos-Aires.
Nous analyserons les premières années du développement de ces communautés, les relations qui eurent lieu entre elles et les autres communautés juives, ainsi que leur adaptation à l’Argentine et à la vie sociale et culturelle de Buenos Aires. Nous commencerons en 1876 avec l’arrivée des premiers Juifs non-Ashkénazes en Argentine, et jusqu’à 1930, période charnière dans l’installation et la création de ces communautés.
Mercredi 6 avril 2022 à 18 h 30, uniquement en visioconférence
(Zoom), Jean-Luc Landier nous a parlé de Léon Blum et la judéité.
Léon Blum fut un des plus importants hommes d’État français du XXéme siècle. Il fut aussi un de ceux qui souleva les passions les plus vives. Aimé et admiré par ses amis politiques, il fut surtout la victime d'un antisémitisme débridé et violent, très révélateur des haines qui ravagèrent la société française, surtout entre 1930 et 1945. Léon Blum fut un grand Juif français, fier de son origine, indifférent aux vociférations des antisémites. Sans revenir sur toute sa carrière ni sur tout ce qu'il a apporté à la France, Jean Luc Landier - ancien directeur adjoint de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah - a mis l'accent sur la place essentielle occupée par l'identité juive dans sa vie.
Sandrine Szwarc, docteur en Histoire, spécialisée en Histoire Juive contemporaine, enseignante, chercheuse à l'Institut Élie Wiesel, nous a parlé de la contribution du mystérieux Chouchani à la renaissance de la philosophie juive après la Shoah en France.
Un pot d'amitié a eu lieu à l'issue de la conférence.
Cette rencontre s'est déroulé le mardi 15 mars 2022 à 19h00 en présentiel et par Zoom.
Isy Morgensztern, professeur en histoire des religions, de philosophie et cinéaste a présenté sa vision des événements de 1968 qui ont profondément impacté la société française, en suivant la vie de Benny Lévy, chassé d'Egypte en 1956 et important acteur de ces événements. Fondateur du journal « Libération » et secrétaire de Jean-Paul Sartre durant sept ans. Passé du maoïsme au judaïsme.
La rencontre s'est effectuée en deux temps :
Le dimanche 6 février de 18 à 20 heures : projection d'un film réalisé pour Arte par Isy Morgensztern : « Benny Levy ou la révolution impossible ».
Le mardi 8 février à 18 h 30 : exposé de son projet par Isy Morgensztern et discussion avec le public.
Alain Kleinmann, Artiste Peintre, Sculpteur, Ecrivain nous a presenté ses œuvres et nous a parlé de sa démarche mémorielle, mardi 11 janvier à 18 h 30.
Céline Masson
Psychanalyste, professeur à l’Université de Picardie Jules Verne, Directrice du Réseau de Recherche sur le Racisme et l’Antisémitisme, Présidente de l’association de recherche sur les processus de création Pandora, réalisatrice.
Céline Masson travaille sur la culture juive, sa mémoire, ses langues, ses noms, elle a commencé par un travail sur « Schmattès, la mémoire par le rebut » un colloque au MahJ en 2004, puis s’est intéressée aux changements de noms chez les Juifs ashkenazes notamment (colloque au MahJ et livres publiés), aux accents des langues juives (MahJ 2003), la troisième génération après la Shoah (Balagan, 2016), etc.
Elle a clos un cycle sur les noms après les changements de noms, en 2009 et un film ; elle y revient après avoir obtenu un revirement de jurisprudence en 2012. Elle réalise alors un autre film « Habiter son nom, une histoire française » sur les retours au nom. Pourquoi ces familles ont-elles voulu reprendre leur nom juif dans un climat de rémanence de l’antisémitisme ?
Ce film a été présenté en ouverture de la conférence, le mardi 14 décembre à 18h00.
Le mardi 16 novembre 2021 à 18h00, Joëlle Allouche-Benayoun, Universitaire et chercheur au C.N.R.S., Vice-Présidente du Cercle de Généalogie Juive (CGJ), Rédactrice en chef de Généalo-J et Alain Nedjar, Généalogiste, Administrateur du Cercle de Généalogie Juive, nous ont parlé de « Généalogie juive et familles juives de Livourne ».
Joëlle Allouche-Benayoun travaille depuis très longtemps sur le monde juif en général. Elle a publié articles et ouvrages sur "La place de la femme dans le judaïsme", "Les mutations de la fonction rabbinique", " Les enfants issus de couples mixtes ", " L’antisémitisme contemporain", "Les Juifs d’Algérie ". Elle travaille actuellement sur les archives juives de Constantine conservées à Jérusalem.
Alain Nedjar, très impliqué dans l’association "Cercle de Généalogie Juive " a présenté le fruit d’un énorme travail sur les Juifs livournais, à Livourne et en Tunisie principalement : " Registres des Kettubot de la Nation Juive de Livourne".
Le mardi 19 octobre 2021 à 18h00, David Zivie, Haut Fonctionnaire au Ministère de la Culture nous a parlé de la recherche et de la restitution des biens culturels spoliés pendant la dernière guerre.
La mission qu'il dirige au sein du Ministère de la Culture a été créée en Avril 2019 et définit ainsi ses enjeux : effectuer les recherches qui permettent d'identifier - dans les collections - les bien volés, sensibiliser le public à la restitution des biens spoliés, et faciliter la recherche des propriétaires légitimes. Une tâche immense. Un travail passionnant, des démarches complexes. Et... Des résultats encourageants.
Mardi 14 Septembre à 18h00 par Zoom, Gérard Sillam qui a étudié en profondeur la société américaine et la seconde guerre mondiale, nous a presente : « Les Juifs américains, hier et aujourd'hui ».
Après avoir retracé l'histoire de la naissance des Etats-Unis, de sa constitution et de ses symboles, le conférencier a traité de l'immigration juive, du peuplement juif de ce pays et des impacts de cette population sur la société américaine.
Mardi 8 juin à 18h00 par Zoom en raison des mesures sanitaires actuelles. Caroline Grimm est scénariste, actrice, conteuse-radio, et réalisatrice de films. Elle est aussi écrivain. Elle nous a parlé de son dernier ouvrage.
Dimanche 30 mai à 18h00 par Zoom. Le livre fut présenté par notre ami Jacques Bodereau. L'œuvre traite d'un écrivain israélien à succès qui ressemble étrangement à l'auteur a accepté de répondre aux questions d'internautes sur ses livres. «La dernière interview », traduit de l'hébreu par Jean-Luc Allouche, Collection « Du monde entier », Gallimard 2020.
Mardi 11 mai 2021 à 18h00 par Zoom, compte-tenu du contexte sanitaire national. Noémie Madar, présidente de lU.E.J.F., nous parle du travail qu'accomplit l'U.E.J.F. pour résister aux dérives idéologiques à l'Université.
Dimanche 2 mai a 18h00 par Zoom. Le livre a été présenté par notre amie Janine Guerson-Père : le jour de la remise de son prix Nobel, en 1946, le scientifique allemand Otto Hahn est confronté à son passé et à son ancienne collaboratrice Lise Meitner, juive autrichienne. Distribué par « Points-poche », au prix de 6,60 €.
Mardi 13 avril à 18h00 par Zoom, compte-tenu du contexte sanitaire national. Jean-Pierre Lledo, scénariste, réalisateur, écrivain, nous parlera de son film et de son livre. Inscription préalable nécessaire afin de recevoir les clés d'accès.
Dimanche 14 mars 2021 à 16h00 par Zoom, compte-tenu du contexte sanitaire national. Introduction par notre ami Jacques Bodereau. Inscription préalable nécessaire afin de recevoir les clés d'accès.
Mardi 8 décembre 2020 à 18h30 par Zoom, compte-tenu du contexte sanitaire national. Intervention d'Yistkhok NIBORSKI, Président de la Maison de la Culture Yiddish. Inscription préalable nécessaire afin de recevoir les clés d'accès.
Mardi 24 novembre 2020 à 19h par Zoom, compte-tenu du contexte sanitaire national. Intervention d'Antoine SPIRE, Journaliste, Editeur et Président du Pen-Club de France. Inscription préalable nécessaire afin de recevoir les clés d'accès.
Mardi 13 octobre 2020 à 19h par Zoom, compte-tenu du contexte sanitaire national. Intervention de Gérard Panczer, Professeur en spectroscopie des géomatériaux à l'Institut Lumière Matière (université Lyon 1), Responsable du Diplôme universitaire de Gemmologie scientifique de Lyon. Inscription préalable nécessaire afin de recevoir les clés d'accès.
Mardi 22 septembre 2020 à 19h par Zoom, compte-tenu du contexte. Intervention de Daniel Chocron, Historien du Cinéma. Inscription préalable nécessaire afin de recevoir les clés d'accès.